\[ \text{Chênes} = 50 \times 0.6 = 30\ \text{quadrats} \] \[ \text{Pins} = 50 \times 0.3 = 15\ \text{quadrats} \] \[ \text{Zones humides} = 50 \times 0.1 = 5\ \text{quadrats} \]

\[ H’ = -\sum (p_i \times \ln p_i) \] \[ p_{pins} = 0.4, p_{chênes} = 0.3, p_{hêtres} = 0.2, p_{érables} = 0.1 \] \[ H’ = – (0.4\ln0.4 + 0.3\ln0.3 + 0.2\ln0.2 + 0.1\ln0.1) ≈ 1.28 \]

\[ \text{Moyenne} = \frac{3+5+0+2+6+1+4+3+2+4}{10} = 3\ \text{ind./m²} \] \[ \text{Écart-type} ≈ 1.83 \] \[ \text{IC 95%} = 3 ± 1.96 \times \frac{1.83}{\sqrt{10}} ≈ 3 ± 1.13 \]

\[ \text{Distance moyenne} = \frac{\sum distances}{n} = \frac{80}{20} = 4\ \text{m} \] \[ D = \frac{n}{2Lw} = \frac{20}{2 \times 500 \times 4} = 0.005\ \text{ind./m²} = 50\ \text{ind./ha} \]

\[ N = \frac{M \times C}{R} = \frac{50 \times 60}{15} = 200\ \text{individus} \]

Le taux de découverte devient marginal à partir du jour 7 (ajout de seulement 4 espèces entre les jours 7 et 10).

\[ BC = 1 – \frac{\sum |A_i – B_i|}{\sum (A_i + B_i)} = 1 – \frac{10+10+0}{90+70+40} = 1 – \frac{20}{200} = 0.9 \]

1. L’ensoleillement a un effet positif identique dans les deux zones (+2 cm par unité d’ensoleillement)

2. L’altitude a un effet positif identique (+0.5 cm par unité d’altitude)

3. À conditions égales, les plantes de montagne sont en moyenne 5 cm plus petites

La courbe monte rapidement au début (espèces communes) puis s’aplatit progressivement (espèces rares).

1. Stratification par type d’habitat (forêt, rocheux, etc.)

2. Transects linéaires dans chaque strate

3. Pièges photographiques aux points stratégiques

4. Échantillonnage par signes (empreintes, excréments)

5. CMR si l’espèce se prête au marquage