\[ 500 \times 64 = \mathbf{32\,000}\ \text{spores} \]

Le sporophyte est la génération dominante (plante visible).

20 sporophytes maximum (1 par archégone fécondée).
Limites naturelles :
– Manque d’eau pour la fécondation
– Compétition entre gamétophytes

a) Cône sporifère : 2n (sporophyte)
b) Prothalle : n (gamétophyte)
c) Spore : n (méiospore)
d) Zygote : 2n (fécondation)

\[ 10^7 \times 0,001\% = 100\ \text{spores viables} \] \[ 100 \times 10\% = \mathbf{10}\ \text{adultes} \]

\[ 1\,000 \times 20\% = 200\ \text{gamètes mâles efficaces} \] \[ \text{Zygotes} = \mathbf{200}\ \text{(limités par les gamètes mâles)} \]

L’eau permet :
– La nage des gamètes
– Évite la dessiccation

\[ \text{Algues} : 100 \times 20 = 2\,000\ \text{cells} \] \[ \text{Champignon} : 100 \times 50 = 5\,000\ \text{hyphes} \]

Reproduction asexuée car :
– Pas de fusion gamétique
– Clone du parent

Mécanismes d’isolement :
1. Temporel : Production de gamètes à des saisons différentes
2. Chimique : Incompatibilité moléculaire des gamètes

\[ \text{Germination totale} ≈ 10\%\ \text{(1% × 10 ans)} \]

Avantage :
– Étalement du risque
– Adaptation aux variations climatiques

\[ 100 \times 100\,g \times 10\% = \mathbf{1\,kg}\ \text{de sucres/an} \]

Adaptations :
1. Protection des gamètes (archégones/anthéridies)
2. Spores résistantes (paroi épaisse)
3. Dominance du sporophyte (indépendance de l’eau)